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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 00:22


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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 20:38
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7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 23:58

 


ABUS DE POUVOIR, de BAYROU  thanks virginie de ce petit cadeau ;)

je trouve cette petite chanson de Noir Dés' assez en symbiose avec le manifeste bayrouiste antisarko, surtout depuis le licenciment de ce responsable web de TF1 pour avoir écrit à sa députée de circonscription... :


Noir Desir Gagnant -Perdant

Tous ces beaux jeux inventés
Pour passer devant les premiers
Pour que chacun soit écrasé
Sil refuse encore de plier
Les dégâts, les excès
Ils vont vous les faire payer
Les cendres qui resteront
Cest pas eux qui les ramasseront
Mais les esclaves et les cons
Qui nauront pas pas su dire non
Nous on nveut pas être des gagnants
Mais on acceptera jamais dêtre des perdants
Pimprenelle et Nicolas
Vous nous endormez comme ça
Le marchand de sable est passé
Nous on garde un oeil éveillé
O la peur, ô le vide
O la victoire des avides
Faut pas bouger une oreille
Toutes sortes de chiens nous surveillent
Pas un geste, une esquisse
Sinon on tourne la vis
Nous on na rien à gagner
Mais on ne peut plus perdre puisque cest déjà fait.
Toi qui viens de loin dici
Avec Ta peau et Tes os
On ta parlé du paradis
On ta menti, tout est faux
O mon ami o mon frère tout ce nerf
Perdu pour la guerre
Tu vas voir tout lamour
Qui traîne au fond du discours
Dis ten veux des papiers ?
Dis tu las vu mon palais ?
Tauras rien, cest ainsi
Cest pas fait pour les perdants, le paradis
Il y a la chair à canon
Il y a la chair à spéculation
Il y a la chair à publicité
Enfin ya tout ce que vous aimez
Vous et moi on le sait
Le spectacle est terminé
Pourtant cétait presque idéal
Cétait loin du féodal
Oh maintnant cest foutu
Ça fait joli dans ton
Fort intérieur cest gênant
De rejoindre comme ça la cohorte des perdants
Il faut pas se faire dillusions
Mais cest mieux debout pour laction
Et pour nos âmes, cest égal
Dieu nest pas dans la bataille
O messieurs les décideurs
De toutes parts, de tous côtés
Sachez que profond dans nos coeurs
On narrête pas le progrès
Sous lIris, sous la peau
Sous les ongles et dans létau
On pourra toujours refuser
De devenir les premiers ou les derniers
Pas de leaders triomphants
On sra jamais des gagnants ni des perdants
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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 18:28

Doit-on chanter JOYEUX ANNIVERSAIRE ? ? ? hum...

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 18:15

Dans le journal gratuit "20 minutes" du 16 avril 2007, figure une interview de Nicolas Sarkozy.

Entre autres sujets, il y parle de l'université et prend pour exemple de filière inutile, et qui ne devrait plus être  prise en charge par les fonds publics, l'enseignement de la "littérature ancienne" :
>

« Vous vous fixez comme objectif de ne laisser aucun enfant sortir du système scolaire sans qualifications. Comment comptez-vous parvenir à cet objectif ?
>  Par exemple dans les universités, chacun choisira sa filière, mais l¹Etat n¹est pas obligé de financer les filières qui conduisent au chômage. L¹Etat financera davantage de places dans les filières qui proposent des emplois, que dans des filières où on a 5000 étudiants pour 250 places.

Si je veux faire littérature ancienne, je devrais financer mes études ?

Vous avez le droit de faire littérature ancienne, mais le contribuable n¹a pas forcément à payer vos études de littérature ancienne si au bout il y a 1000 étudiants pour deux places. Les universités auront davantage d¹argent pour créer des filières dans l¹informatique, dans les mathématiques, dans les sciences économiques. Le plaisir de la connaissance est formidable mais l¹Etat doit se préoccuper d¹abord de la réussite professionnelle des jeunes."
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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 18:10
 >Chirac et Bush sont dans un bar en Arabie Saoudite, en train de boire un 
 >verre lorsque la police saoudienne les arrête. La consommation d'alcool 
 >est une offense grave en Arabie Saoudite. Ainsi, ils sont tout les deux 
 >condamnés à 20 coups de fouet. 
 >  
 >Alors qu'ils se préparaient à leur punition, le cheik annonça: 
 >- C'est l'anniversaire de ma première épouse aujourd'hui, et elle m'a 
 >demandée de permettre à chacun de vous d'exaucer un souhait avant 
 d'être 
 >fouettés. 
 >  
 >Bush étant le premier, il réfléchit pendant un moment puis dit: 
 >  
 >- S'il vous plaît, attachez un oreiller dans mon dos. Ceci fut fait, 
 >mais l'oreiller dura seulement 10 coups de fouet. Quand la punition fût 
 > terminée, il a dû être emporté en train de saigner abondamment et de 
 >pleurnicher de douleur. 
 >  
 >Vient le tour de Chirac. 
 >  
 >Le cheik se tourne vers lui et dit: 
 >- Vous venez d'un des endroits les plus beaux du monde et votre 
 >culture 
 >est une des plus fine au monde. A cause de cela, vous avez le droit à 
 >deux souhaits! 
 >  
 >Chirac: 
 >- Soyez remerciée, votre très royale Altesse pleine de miséricorde. En 
 >reconnaissance de votre bonté, mon premier veux sera que vous ne me 
 >donniez pas 20, mais CENT coups de fouets! 
 >  
 >- Non seulement vous êtes un honorable et puissant gentilhomme, mais 
 >vous êtes aussi très brave. Si 100 coups de fouet est votre souhait, 
 >qu'il en soit ainsi. Et quel sera votre second souhait? demanda le 
 >Cheik. 
 >  
 >- Attachez-moi Bush sur le dos. 
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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 18:46
bon là il écrit & on voit pas trop, mais c'était bien : sur le CRISE !
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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 10:26

Extraits d'une interview accordée à la Tribune de Genève

Voilà six ans, vous dressiez le tableau d’un pays devenu «un facteur de désordre international». Une élection de Barack Obama pourrait-elle
modifier ce constat?

Elle donnera dans un premier temps l’image d’une Amérique qui rebondit. Avec Bush, on a eu le pire des présidents - une sorte de Rantanplan, qui fait la guerre, qui par sa maladresse accélère la destruction de l’empire américain. Avec Obama, resurgit le visage d’une Amérique optimiste et dynamique. Une Amérique civilisée, à la politique étrangère plus raisonnable, qui aspire à se retirer d’Irak, qui ne veut pas déclarer la guerre à l’Iran. Une Amérique qui pourrait néanmoins rester aussi anti-russe que la précédente, les démocrates ciblant la Russie comme le seul véritable adversaire stratégique des Etats-Unis.

Dans le climat actuel de débâcle, de déroute financière et morale, et compte-tenu de la responsabilité inouie de l’Amérique dans le désordre du monde, la victoire d’Obama va permettre aux pro-Américains des pays occidentaux de dire que l’Amérique est redevenue merveilleuse. Elle redonnera quelques années de vie supplémentaires à l’empire.

L’accession d’un élu noir à la Maison-Blanche ne confirme-t-elle pas les mutations intervenues au sein de la société américaine?

Il se produit des événements vraiment extraordinaires aux Etats-Unis. L’implosion du système financier et du mythe économique, d’un côté; l’implosion de la structuration raciale, de l’autre. On comprend dans ces conditions que les Américains vivent dans une sorte d’état d’apesanteur. Cela dit, si l’affaissement du sentiment racial est évidemment une bonne nouvelle, le racisme aura vraiment disparu le jour où les électeurs n’attendront rien de particulier d’un président noir. Obama est un homme politique américain. Son discours est truffé des habituelles références aux valeurs religieuses. Il est entouré des personnalités issues de l’establishment démocrate - ces mêmes démocrates qui ont, plus nombreux encore que les républicains, voté les subventions au système bancaire. 

L’élection de Barack Obama ne plaide-t-elle pas pour la vitalité de la démocratie américaine?

Ce qui se passe est étrange, et paradoxal. Si l’on observe l’histoire des Etats-Unis, on constate en effet que le racisme n’est pas du tout un petit défaut de la démocratie blanche: il en est le fondement. Au départ, les colons anglais n’attachaient pas une grande importance à la valeur de l’égalité, que ce soit dans la famille ou ailleurs. Ce qui a permis alors d’assimiler des Européens d’origines très diverses, c’est la fixation de la différence sur les Indiens et les Noirs. Dans l’Amérique jacksonienne, le président était un héros des guerres contre les Indiens. Le racisme a été le moteur de l’émergence démocratique. Aujourd’hui, on assiste à l’avènement d’une ploutocratie irresponsable: la montée des inégalités constitue la dynamique fondamentale de la société américaine. L’Amérique cesse d’être démocratique au sens économique du terme. Le racisme y est en baisse, mais la démocratie est malade. Elle pourrit sous nos yeux. Dès lors, j’ai peur que l’on tombe très vite de haut. Une partie de l’oligarchie est derrière Obama. Il a du reste ramassé plus d’argent chez les riches que McCain. Son élection sera interprétée comme une regénération de la démocratie américaine. J’ai quant à moi le sentiment qu’elle fait plutôt partie d’un processus de dislocation. 

Les Etats-Unis comptent certaines des meilleures universités du monde. Ils attirent de partout les capitaux, les chercheurs, les entrepreneurs de la nouvelle économie. Ces atouts-là ne leur assurent-ils pas une place centrale dans la compétition internationale?

Quelques universités sont en effet très bonnes. Mais la majorité d’entre elles est d’une médiocrité absolue. Sur le terrain de la production scientifique et technologique, les chiffres sont sans équivoque: l’Europe est redevenue le centre de gravité du monde. Ce sont les Européens qui savent construire les centrales nucléaires modernes, ou qui fabriquent des avions gros porteurs - même avec retard.
L’ouragan Katrina avait en 2005 constitué un premier moment de vérité. On a compris tout à coup que les Américains ne disposaient pas d’assez d’ingénieurs pour protéger les villes, ou les reconstruire. Je pense aussi que le conflit au Caucase a contribué au cours de l’été dernier à précipiter la crise financière. L’inexistence de l’Amérique a été perçue comme un moment d’atterrissage dans la réalité.

Il reste pour l’industrie américaine des secteurs porteurs. L’informatique, la Silicon Valley...

Si l’on songe à ce qu’étaient les Etats-Unis en 1945, il serait étonnant qu’il ne reste rien de leur puissance industrielle et technologique. Mais alors qu’ils étaient excédentaires dans tous les domaines, ils enregistrent aujourd’hui un déficit commercial de 800 milliards de dollars. La vitesse de régression est hallucinante, et elle n’épargnera pas l’informatique: l’Inde va bientôt porter l’estocade.

Le projet économique du candidat démocrate peut-il contrecarrer la dépression qui menace?

Il n’a pas de programme économique. Au début de sa campagne, il a bien proposé quelques mesures protectionnistes, mais le déficit commercial est tel que le protectionnisme entraînerait dans une première période une baisse dramatique du niveau de vie.
Obama se confond avec son image. Or les difficultés américaines vont bien au delà d’une image. Pour le moment, le dollar tient, car à l’extérieur, des institutions, des gens riches, des Etats veulent que les Etats-Unis restent au centre du monde. Mais la situation ne changera pas: elle devrait même se dégrader encore. La question est maintenant de savoir comment, avec la fin de la mécanique des subprimes, on va donner aux Américains les moyens financiers de continuer à vivre aux frais de la planète. 

Les Etats-Unis gardent une forte capacité d’influence sur les leaders d’opinion du monde occidental. Leur image est-elle en train de se troubler?

L’Amérique, c’est une image. On ne peut en parler sans évoquer le cinéma, les scénarios de feuilletons télévisés, Hollywood. Il y a dans tout ce qui est américain un côté extraordinairement virtuel. Et voilà que par étape on voit émerger la réalité. Il sera en ce sens très intéressant de suivre l’évolution de l’opinion dans les oligarchies financières occidentales. Elles éprouvent un sentiment de solidarité avec l’Amérique. Mais elles viennent aussi de se faire plumer... Je n’aimerais pas être en ce moment un ploutocrate français de la sphère financière.

La notion d’«hyperpuissance» a-t-elle un sens pour vous?

Dans le domaine militaire, le monde est déjà multipolaire. L’incertitude tient aux illusions que les Américains entretiennent encore sur eux-mêmes. Ils sont un peu comme les Russes, au moment de l’effondrement du communisme. Lorsqu’ une puissance de cette nature possède encore une armée, elle n’est pas à l’abri de réactions irrationnelles.
Les Etats-Unis ont également perdu la place centrale qu’ils occupaient sur le terrain économique. Avec l’aventure des subprimes, ils ne viennent pas moins de réaliser la plus grande escroquerie financière de l’histoire de l’humanité. Autrement dit, ils ne sont plus dans ce domaine une hyperpuissance, mais compte-tenu de l’absence de régulation de l’économie mondiale, ils détiennent une «hypercapacité de nuisance».

Source : La tribune de Genève 1er novembre 2008

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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 12:32
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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 22:25
Il se dit que cette affiche, fruit du travail d'un designer californien, rentrerait dans le cercle fermé des grandes affiches du siècle, à hauteur de celle du Che.
GARE à la démythification cependant, he's not God, just an human !
mais savourons en attendant.....
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